- Moi, jt'ai supplié ? Moi, jt'ai supplié moi ?? Moi, jsuis venu à votre bureau vous supplier pour une augmentation ?? [Franklin Ebagé]
- Oui, tout à fait... lundi matin, 11 heures 34 précise... je certifie que t'étais dans mon bueau pour une augmentation. [le patron]
- Ouais, j'étais dans ton bureau ouais, mais pour parler de ma blessure à la cuisse, qui m'empêche de travailler correctement, OK ? J'ai du parler d'augmentation 10 minutes... 10 secondes à tout casser. Et là, dire que jsuis venu pour ça. C'est juste déguelasse, déguelasse ! [Franklin Ebagé]
- Mais qu'est ce qu'il se passe au juste ? [son oncle Keita]
- Ecoutez monsieur Keita, je vous assure que Franklin Ebagé, ici présent, est venu dans mon bureau lundi matin me dire qu'il souhaitait la révision de sa base salariale... [le patron]
- N'importe quoi, jsuis venu pour ma cuisse. Jte jure tonton ! Jsuis venu pour ça !! Arrête de dire n'importe quoi là ! ARRÊTE !!! TU ME FAIS PETER LES PLOMBS LA !! VAS Y, J'Y VAIS !! [Franklin Ebagé]
- ... la révision de sa base salariale. En d'autres termes, il m'a demandé une augmentation. [le patron]
- TOI, retires ce que t'as dit là !! Patron ou pas, je vais te déchirer, tu comprends pas, toi ?? Moi pour de l'argent ?? Tu es fou toi !! (il déchires son T-Shirt) Tu me connais pas ! [Franklin Ebagé]
