Alexandre et sa journée épouvantablement terrible et affreuse
American College
- Véronique, j'ai une petite galère d'oseille aujourd'hui, y'a moyen que tu me fasses crédit stoplait ? [Krimo]- Non [la prostitué]- Vas y, fais pas ta pute. [Krimo]
(pris en train de regarder un film porno) - C'est pour la S.V.T ! [Krimo à son père]
A ce dénonmmé Farid Balayette... il va rien balayer du tout à part les rues. Le jour où je vais te croiser frère, je vais t'attraper, je vais te niquer ta mère. Moi, j'ai grandi dans la merde, j'ai pas grandi avec une cuillère en bois dans la gorge en argent, tu vois ce que je veux dire ? Inchallah, Inchallah, je te croise dans pas longtemps. [Krimo]
- C'est pas moi qui voulait la poster la vidéo... pardonne-moi... pardonne-moi. [Krimo]- (en le tapant) Enculé [Farid Balayette]- Je me chie dessus Farid. Je suis une merde, je suis une pute. [Krimo]
J'en ai passé des époques, des hauts, des bas, des vertes, des pas mures et quand j'étais en prison, malheureusement, dans une époque sombre de ma vie, j'ai eu l'honneur de rencontrer celui qui est devenu mon maître : maître Gim's. C'est mon maître car je le respecte, mais c'est aussi mon maître car il mesurait un mètre. [Le Marocain]
(parlant de son maître) J'ai appris avec lui la tactique de la bagarre ancestrale, les traditions ecclésiastiques des siècles des lumières. [Le Marocain]
Un jour, mon cousin Jawad, qui est vraiment un connard m'a envoyé un ptit colis du bled avec des cornes de gazelle sauf que ce qu'on savait pas c'est que Maître Gim's il était allergique à la gazelle. [Le Marocain]
Tout ça avec la complicité de ma douce, ma beauté, ma femme... Thai basse... Voilà, c'est bien... gentil... le buddhisme. [Le Marocain]
Il vivait comme un héros mon maître, il est mort comme de la merde. [Le Marocain]
