Terminale
L'espion qui m'aimait
- Il paraît que t'es capable de lire 4 livres dans la soirée ?- Oui, la semaine dernière c'est ce que j'ai fait, c'est vrai. [George Malley]
Tu as des capacités, je l'ai toujours dit.
- Vous avez vu ça ? Dans le ciel, une lumière et un bruit ! Vous avez entendu le bruit ? [George Malley]- Nan
- Qu'est-ce qu'il se passe ? [Doc]- J'en sais rien. Je sais pas docteur, je ne comprends pas. Depuis quelque temps, tout paraît clair, j'arrive à discerner les choses. Disons que je comprends plus vite. J'ai aucun mal à me concentrer. Les bouquins, je peux pas m'en rassasier. J'en lis deux à trois par jour, vous imaginez ? Quand je lis, plus rien ne peut m'arrêter. [George Malley]
(parlant dans la CB) J'aimerais parler à Diana Ross mais j'accepterai n'importe qui ce soir [Nate]
- (appel en pleine nuit) Quoi ??!! [Nate]- ça y est, j'ai compris. [George Malley]- Qu'est ce que t'as à m'appeller à cette heure là, t'es malade ? Il est tard ! [Nate]- Je croyais que les fermiers se levaient avant le soleil... [George Malley]- ça, c'est quand on a des vaches, et les vaches, j'en ai rien à foutre Georges ! [Nate]- Ecoute, y'a qu'une seule explication possible pour ce lapin. [George Malley]- Quoi ? [Nate]- Tu sais mon grillage, quand je l'ai installé, le lapin était dans le jardin, il était caché et c'est moi qui l'ai fait prisonnier. Il ne me reste plus qu'une seule chose à faire : le laisser sortir. [George Malley]- Salut Georges, bonne nuit... [Nate]
(parlant à Nate) Il manque une femme dans cette maison, et ça devient urgent. [George Malley]
- C'est un crayon magique ? [l'interviewer]- Nan, je lui demande de bouger. Je pourrais dire que je l'exige en fait mais ça voudrait que je peux le commander. Alors que c'est plutôt une collaboration, un travail d'équipe. [George Malley]- un travail d'équipe ? Avec votre crayon ? [l'interviewer]- Pourquoi pas ? Nous sommes tous fait de la même nature après tout. [George Malley]
C'est une terrible erreur, voilà ce que c'était ! ça aurait du arriver à quelqu'un de surdoué, je sais pas moi, un grand scientifique, un éniment professeur mais pas du tout, non, c'est arrivé à George Malley, l'abruti. (Se pointant dans un mirroir) Mais regardez ce pauvre type ! Mais regardez !
