Willow
The Irishman
Ce qui compte, c’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d’avancer. Ce que t’arrives à endurer tout en marchant la tête haute. [Rocky Balboa]
Je vais te dire un truc que tu sais déjà. Le soleil, les arcs en ciel, c’est pas le monde ! Y’a de vraies tempêtes, de lourdes épreuves aussi grand et fort que tu sois la vie te mettra a genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n’importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie, c’est pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand même de l’avant, c’est de pouvoir encaisser sans jamais, jamais flancher. C’est comme ça qu’on gagne ! [Rocky Balboa]
C’est pas fini tant que la cloche n’a pas sonné ! [Rocky Balboa]
Tous les champions ont un jour été un prétendant, refusant d'abandonner. [Rocky Balboa]
Pour battre ce mec, il faut être rapide. Tu ne l'es pas, et tes genous ne supportent plus le moindre choc, donc, molo sur le jogging. T'as de l'arthrite d'un coup et des dépôt de calcium dans presque toutes les articulations, donc, le sparring, on oublie. Donc, on va pas faire compliqué ! La solution, là voilà : pure force de frappe ! Cheval-vapeur... puissance d'impact ! Des coups de massue à ébranler les murs, du bourre-pif énorme à le dérouiller sur 7 générations. Quand tu le cogneras, il faudra qu'il ait impression d'avoir voulu faire la bise à un train. On va lui fabriquer des missiles à hématomes. [Duke]
Paulie, la bête elle est plus là, elle est partie, c'est fini ! [Rocky Balboa]
